Forteresse : Ogh-Hen-Kir, la Flibustière
Emblème :
Des motifs géométrique disposés de manière à former un sablier.
Localisation :
Ogh-Hen-Kir
Dirigeant(s) :
Vauth Vandyk, corsaire de Tir-Nâ-Bor
Divinité(s) :
Champions :
ToDo
Unité(s) Spéciale(s):
–
Capacité(s) Spéciale(s):
Forteresse/Renseignement
Le joueur peut garder une carte de réserve supplémentaire par tranche, même incomplète, de 100 P.A. de nains de son armée dotés de cette capacité. Il ne peut pas jouer plus de 2 cartes de réserve à la fois.
Solo/Carreau explosif:
Cette capacité peut être attribuée à n’importe quel arbalétrier nain (y compris les Incarné arbalétriers) associé à Ogh-Hen-Kir. Une fois par partie, au moment de tirer, il peut remplacer sa séquence de tir normal par un unique tir explosif/FOR 8, portée 15-30-45, Artillerie légère à effet de zone.
Solo/Diamantaire:
Cette capacité peut être attribuée à tout nain associé à Ogh-Hen-Kir et disposant de POU sur sa carte de références. Il acquiert la voie de magie lithomancie s’il ne la possède pas. Si sa carte indique qu’il la possède déjà, son POU est augmenté de 1 point.
Role :
–
Expertise :
–
Alliés :
–
Description :
–
Artefacts :
–
Background :
Cry Havoc Nr. 13 Page 47.
Ogh-Hen-Kir, gigantesque port des rivages de la mer de Migol, est la plus ouverte des forteresses naines. Ses quais accueillent tous les pavillons et servent d’escale aux navires de croisade akkylanniens. Des demeures cosmopolites et des échoppes ont poussé comme des champignons au pied de la forteresse qui domine la cité. Chaque jour la population achète, vend, troque, échange et spécule sur les marchandises exotiques arrivées dans la nuit. L’ambiance qui règne à Ogh-Hen-Kir est bien moins austère que dans les autres forteresses de Tir-Nâ-Bor. L’irascibilité coutumière des nains le dispute ici à l’opportunisme commercial, à la filouterie des marins de passage et aux signes extérieurs de richesse des nantis. Ogh-Hen-Kir est la cité de Caradoc, le dieu nain du commerce et des voleurs. Les magiciens de la cité manipulent des pierres précieuses et apprennent naturellement la voie de la lithomancie. Ogh-Hen-Kir est régie par une organisation mystérieuse que les habitants nomment « la Communauté ». Son influence n’a jamais été reconnue par Kâ-In-Ar ; les tribunaux de Tir-Nâ-bor abondent de plaintes contre cette assemblée insaisissable et tentaculaire. La Communauté fixe les prix, surveille les échanges, accorde les prêts, bénit les mariages et fait disparaître ceux qui s’intéressent un peu trop à elle. Elle entretient un incroyable réseau d’espions dispersés à travers Aarklash. Sa seule motivation semble être l’argent ; elle tolère l’autorité du Conseil des Anciens plus qu’elle ne s’y plie. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant qu’Ogh-Hen-Kir entretienne de fructueuses relations avec les guildes de Cadwallon, sa cousine occidentale. Darehvan, grand maître de la guilde des Orfèvres, connaît bien la Communauté et ses secrets. Ogh-Hen-Kir, trésor du Migol, attise bien des convoitises. Tels des rapaces, les pirates des Crocs de feu écument la limite de ses eaux territoriales à la recherche de leur prochaine victime. Les nefs syhars ne ratent jamais une occasion de couler les navires akkylanniens et s’attaquent parfois aux croiseurs nains.